dimanche 16 novembre 2008

Enweye déhors!

Octobre est le mois de la « rupture » avec l'Individu. On ne peut pas vraiment parler de rupture à proprement dit puisque le couple est officiellement inexistant... anyway!

En 2007, je me souviens que ça avait été violent, sans me souvenir de la cause exacte. On avait passé 2 mois à ne pas se parler et à éviter de se retrouver au même endroit, au même moment. Puis, au souper de Noël (organisé par moi) avec le monde de la job estivale, il était venu. Et dès que je l'avais vu, j'avais fondu comme... de la glace au soleil. (Je cherchais une image moins conventionnelle... J'en ai pas trouvé, il est tard, vous m'excuserez. Et si vous le faites pas... HEILLE! c'est chez nous icitte! haha!)

La soirée s'était déroulée comme un charme. Nous discutions comme si nous ne nous étions jamais « rupturés », et ce, sans l'aide de trop d'alcool. La fermeture du bar venue, nous nous sommes tous (les habituels...) rendus à nos voitures. Et c'est à ce moment que la weirdness de la situation m'est sautée dans la face!

Mise en contexte : Smack! Smack! (bruit de personnes se faisant la bise pour ceux et celles qui n'auraient pas compris...) Grosses acolades, tout le monde était donc heureux de s'être revus et d'avoir passé du bon temps, blablabla... ET LÀ! Il vient s'approche de moi et me fait la bise. Je ne sais pas pour lui, mais moi... J'ÉTAIS PAS À L'AISE! Mon feeling à ce moment là est plutôt difficile à mettre en mots : des expressions faciales étant beaucoup plus appropriées. Mais en gros, ça voulait dire que dans ma tête, lui et moi c'était soit le gros french, soit rien pentoute.

La bise était teintée d'une tentative de rapprochement, d'une vraie amitié qui est tellement improbable et de... de quelque chose là! Et pour finir rapidement l'histoire de la « rupture 1 », il est venu me chercher à 3 h 34, on a fait un tour de machine pour qu'il finisse par me ramener chez nous à 8 h le matin. Et cette fois, on avait pris notre temps.

En 2008, la « rupture » a été moins violente. Et le souvenir est encore frais à ma mémoire. De la frustration et un soupçon de déception ont teinté ce post pas très explicite, mais qui veut tout dire en même temps...

Mais cette fois-ci, on se parle... sur MSN. Et cette fois-ci, je ne suis pas sûre de l'issue que devrait prendre cette « séparation »... Après 2 ans et demi beaucoup trop de temps, je devrais peut-être lui faire prendre le bord pour vrai, lui montrer la porte et lui dire que j'en ai marre de son attitude de...

Parce que ce n'est pas comme s'il n'y avait rien (ou personne) d'autre. En fait, les rencontres intéressantes se multiplient cet automne. Ouin... LeBeauMec, M.Excel-Rafraîchaleine, l'autre là... ouff! Mais d'un autre côté, dès que l'Individu se trouve dans mon champ de vision (ou dans un rayon de moins de 10 m), je fonds... comme un eskimo à la banane (...) dans les mains d'un enfant de 3 ans. (Y a eu de la recherche ici... NOT!)

Bon... C'est long longtemps. Je ne sais pas ce que j'ai ces temps-ci, mais tout est toujours plus long... Et c'est écrit sans arrière-pensée.

P.S. Je sais que je mets beaucoup de ... et de ( ), mais j'aime ça. Contrairement à trouver des titres...

2 commentaires:

Mélissa Verreault a dit...

Salut Sandrine!
J'suis désolée, j'suis vraiment partie vite hier, j'ai dit au revoir à personne. J'suis un peu sauvage des fois, je sais! C'est que j'avais une autre fête ailleurs et je n'avais pas vu le temps passer (j'imagine que la musique était trop bonne! :P) et il était déjà plus tard que je croyais, alors j'ai filer comme l'éclair.

Bref. Moi aussi j'étais contente de te rencontrer, ce fut une chouette soirée! Ce n'est que partie remise ;)

SAndrine a dit...

Je suis certaine que tu n'as pas vu le temps passer parce que tu étais en tellement bonne compagnie! :P

Partie remise, mets-en!