Claquage et manque d'affection

Titre complètement nul, mais puisqu'il est presque minuit et que je suis debout depuis 8 h, je me pardonne. (Je souhaite que vous fassiez de même...)

N'empêche que je me suis quand même fait un sale claquage en essayant de commencer à jouer au cosom ce soir. Rapide récapitulation de la semaine qui vient de passer :

Dimanche : je veux mourir, je suis rackée à fond.
Lundi : toujours rackée, mais c'est pas siii pire.
Mardi : le rackage ne se fait plus sentir, mais j'ai mal à la cuisse.
Mercredi, jeudi, vendredi : tout va bien. Sauf la cuisse encore...
Samedi : y a d'la joie jusqu'à 8 h. Heure fatidique où je cours après une balle et que ma jambe/cuisse abandonne la game.

Si j'avais su que mon mal de cuisse engendrerait un claquage qui s'étend jusqu'à mon genou et ben... j'aurais pas tenté de commencer à jouer. ANYWAY!

2e point indiqué à l'ordre du jour (dans ma tête, on s'entend) : je veux de l'affection. Je veux me coller. Y a Farrah et Marie-Andrée qui sont avec leur chums depuis environ 3 ans (wow!), mais moi, je veux JUSTE ÊTRE DANS SES BRAS une couple d'heures, un après-midi, une soirée, une nuit... (pour l'instant... )

Mais non. Il est fatigué... Daaaaaaaah! Ah! Voilà la déception qui vient d'entrer en jeu. J'suis due pour une dose d'affection. C'est pire que la drogue ce truc-là. Une fois que tu y goûtes... difficile d'arrêter. Et, étrangement, il n'y a pas de centre de désintoxication pour ça...

J'sais pas trop comment finir. J'aurais des milliers de choses à dire et à écrire à ce propos, mais sur un blog c'est... plus ou moins approprié?

Bonne nuit vous tous!