jeudi 28 février 2008

La tag ou Les 6 vérités, partie 1

J'ai reçu de Ka la Gaffe une tag.

« Le principe de la tag est d’écrire 6 trucs sans importance sur soi. »

1. Écrire le lien de la personne qui nous a tagué.
2. Préciser le règlement sur son blogue.
3. Mentionner six choses sans importance sur soi.
4. Taguer six autres personnes en mettant leur lien.
5. Prévenir ces personnes sur leur blogue respectif.

Mais c'est vraiment très difficile de trouver 6 trucs sans importance à dire sur soi. J'vais faire de mon mieux...

21 h 46 : Je commence à chercher ce que je pourrais écrire...

21 h 50 : Je n'ai toujours pas trouvé. J'ai l'impression que j'ai déjà tout dit. (Et j'écoute La Coloc qui chiale sur le fait qu'elle n'a toujours pas commencé à étudier sérieusement pour son exam de comptabilité de demain matin...)

21 h 53 : Je pense que je vais aller prendre ma douche là-dessus et revenir en force demain. Comme la journée finit à 15 h demain à cause du déménagement au Complexe Guy-Favreau, j'devrais pas avoir trop de job... Ou devrais-je plutôt dire : « Ma journée habituelle va simplement finir plus tôt. »

21 h 56 : Je clique sur « Publier le message » et j'inscris la mise à jour sur MSN. La suite demain... si je trouve quelque chose! :)

dimanche 17 février 2008

Je... souffre?, prise 2

Je souffre.
J'ai une tendinite.
Une maudite tendinite de fonctionnaire.
De fonctionnaire qui fait rien.
Si jamais j'en viens à faire une carrière au gouvernement, rappellez-moi ce post. Vraiment...
Eeeeewwww!

Au moins, j'ai pas attendu longtemps à l'urgence. Une heure, j'étais de retour à l'appart. Merci l'urgence de Verdun!

samedi 16 février 2008

Something stupid

« Dites une chose stupide, mais dites-la souvent, et elle finira par passer pour sage. »
[Elizabeth Browning]

Le meilleur exemple : la chanson Something stupid de Robbie William et Nicole Kidman...

« And then I go and spoil it all by saying something stupide like I love you... »

Dire que des fois, c'est vraiment des stupidités qui passent pour sages... C'est triste. Sérieusement.

lundi 11 février 2008

Vite, vite, vite...

Et je ne parle pas d'une vraiment p'tite vite...

Je parle plutôt du site Internet de Louis-José Houde, un véritable coffre au trésor pour les fans de l'humoriste. En s'inscrivant, tout à fait gratuitement, on peut écouter des bouts de son premier one man show en streaming.


J'adore. Je pourrais aller manger des muffins bruns et verts à l'étranger... Louis-José Houde, c'est le king! J'ai tellement hâte d'aller voir Suivre la parade, le 29 février au Centre Culturel de l'UdeS... Et son passage à l'émission Tout le monde en parle n'a fait que raviver la passion que j'entretenais pour ce nouveau trentenaire... le seul avec qui je me permettrais bien un petit écart (hein Turcotte? haha!!).

En show ou en entrevue, il est toujours drôle. J'fais ma fan démesurée, mais sérieux, il me fait CA-PO-TER! J'pense que j'vais aller m'coucher avant de réécrire tout le spectacle ici. Allez visiter son site, ça vaut la peine!

samedi 9 février 2008

Cassé!

« L'Enfer, c'est là où il n'y a pas de pourquoi. »
[Primo Levi]

Et voilà!
Ce qui devait être confirmé vient de l'être.

J'ai toujours su que mes trop nombreux « Pourquoi? » étaient utiles. Et ils n'avaient pas n'importe quelle importance : ils nous évitent de nous sentir/d'être en Enfer.

CASSÉ!

Les hommes et les émotions

Hier, j'ai appris que les hommes avaient 4 émotions.

1. Quand tu fais un but.
2. Quand tu récoltes une passe.
3. Quand tu retires le goaler.
4. Quand tu gagnes la partie.

En fin de soirée, et de discussion, une 5e émotion s'est ajoutée. Celle-là n'est pas présente chez tous : certains préfèrent la bloquer.

5. Quand tu perds.

J'étais avec des gars qui jouent au hockey. J'voulais le préciser, au cas où c'était pas facilement identifiable. Mais maintenant, je me pose une question... Les hommes qui ne jouent pas au hockey, est-ce qu'ils ont des émotions?

J'vais investiguer. Si vous avez des réponses ou des hypothèses, faites m'en part. J'aimerais vraiment savoir... j'me sentirais mieux et ça me ferait grandir intérieurement.

mardi 5 février 2008

Histoire de métro

Depuis que je suis à Montréal, j'ai vu plein de gens dans la rue (j'habite quand même à Verdun) et surtout, dans le métro.

Des fois, les personnes sont bizarres. Comme la madame qui tricote en bougeant la face. Ou l'itinérant qui entre dans un wagon à une station, sort à la suivante et crie entre les deux : « Ça fait deux jours que j'ai pas mangé. Un p'tit dollar SVP! » Tout en sortant la langue à tout bout d'champ.

Des fois, ce sont des gens bien normaux. Un couple qui s'enlace, un Chinois qui lit un journal chinois avec des sacs d'une épicerie chinoise, plein de gens qui dorment ou qui se tournent les pouces en attendant d'arriver à la prochaine station.

Des fois, il y a des belles personnes. C'était le cas aujourd'hui. Un beau travailleur de la construction. Avec des Big Bill et des bottes de construction. Et un style à faire craquer. Des mains pas trop pires non plus...

Mais le plus... drôle (??) dans cette histoire, c'est que, pendant tout le trajet, il y avait un « je-te-regarde-tu-me-regardes-je-tourne-la-tête ». Là où je me suis surprise moi-même, c'est qu'en sortant du wagon, je l'ai regardé et lui ai lancé un « Ben bonne soirée! » et lui ai fait un sourire.

Quand le métro est reparti, il était retourné vers le quai et avait un immense sourire dans la face. Et je me suis mise à rire toute seule. Une barrière de franchie...

Serais-je sur une nouvelle « bonne » voie?

lundi 4 février 2008

Mouhahaha!

« Le rire est satanique, il est donc profondément humain. »
[Charles Beaudelaire, De l'Essence du rire ]

Cette citation de Beaudelaire m'a séduite. Je me suis sentie personnellement touchée. Peut-être que Simon du Harvey's m'a inconsciemment traumatisée en riant de mon rire. Peut-être que Yann m'a inconsciemment dérangée en m'imitant... Mais ça devait être profondément inconscient. Je l'aime mon rire, moi!

Commentaire à part : J'écoute les Greatest Hits des Spice Girls pis... maudit que c'est bon! :)

samedi 2 février 2008

C'est de l'art...

Comme mentionné au moins 1000 (et on insiste sur le iiiiiii quand on le dit) fois depuis que je m'étale sur ce bout de Web, j'ai le don de kicker sur des gars étranges.

Lui, il est beau. Son sourire, sublime. (À cause de mes 10 mois avec des broches, les dents, c'est rendu important!) Check-y les avant-bras... pis les mains. Son look est pas mal non plus.

Oulala! Regarde celui-là! Son regard intense... soutient le mien quand je le regarde! « Bonne soirée! », qu'il me lance quand je sors du métro. Métro = si on se recroise, on est fait l'un pour l'autre! (J'exagère...)

Celui-ci, c'est l'ami d'un ami d'une amie. Un peu gêné, beau sourire. Quand même drôle. Les regards se croisent le temps de se rendre compte que les regards se croisent. Un bon p'tit gars!

La tête qui tourne quand j'aperçois le quatrième et là... Et là, back to reality.

Ils s'ouvrent la trappe pis ils disent des niaseries. Mais pas nécessairement le genre de trucs drôles : juste des commentaires épais. Ou ils fument sans arrêt. Ou ils sont amoureux d'eux-mêmes. Ou...

Et vlan! Le soi-disant prince devient une enième grenouille de l'étang. Et là, j'commence à penser que je devrais appeller un exterminateur de grenouilles...

Peut-être que celui-là...

vendredi 1 février 2008

Amour/Haine, prise 2

Une voie ouverte sur l'autoroute.
Une heure (en montant) de plus pour se rendre à destination.
Carl est bo! **
Une ASTI DE TEMPÉRATURE DE MARDE!

** C'est ça qui arrive quand on laisse une fenêtre ouverte et que quelqu'un (on se demande pas qui...) utilise le même ordinateur! hahaha!

Amour/Haine

Je commencerai par ceci : « Maudite température de marde! » Et je continuerai en vous racontant l'histoire de ma récente relation amour/haine développée avec Sherbrooke.

Depuis 4 semaines, je vis à Montréal. Mais comme je suis une bourreau de travail (ça s'écrit comme workoolic? haha!!), et bien je descends à Sherbrooke à tous les vendredis pour pouvoir aller servir des déjeuners le lendemain matin.

Et ben marde! Il n'y a pas UN vendredi qui a été ensoleillé, ou du moins, pas dégueulasse. De la pluie en masse, du vent, de la neige et... aujourd'hui. Mais, quand vient le dimanche (a.k.a le temps de revenir à Montréal), il fait tout le temps beau. Ou du moins, beaucoup plus beau.

Je n'ai donc qu'une chose à dire : « Sherbrooke ne m'aime plus! Adieu Sherbrooke! » (Et je rajoute : « Ça pis pas trop pertinent, c'est ben la même affaire! »)