vendredi 27 mars 2009

Les mots les plus justes

Ok, 2 updates en moins de 20 minutes, c'est bizarre. Mais après avoir terminé la rédaction de mon billet, je suis allée voir si quelqu'un n'aurait pas, par hasard, écrit quelque chose de nouveau.

Et là, je tombe sur 10 lignes qui ont eu le même effet sur moi que le merveilleux texte de Bill : Décembre avec toi.

Il s'agit d'une « écriture automatique avant d'aller dormir» tirée du blog de Stéphane. Sans être chamboulée et avoir envie de me placer en position foetale, ses mots m'ont vraiment touchée.

Pour la deuxième fois en moins de 4 mois, j'ai eu l'impression de voir la situation reprise et présentée par quelqu'un complètement externe. C'est un feeling très étrange...

Si ce sont des mots que tu cherches
J’ai des caresses à t’offrir.

S’il y a des choses que tu veux entendre
J’ai de la tendresse à offrir.

Si tu trébuches et devient inquiète
J’ai de l’affection à offrir.

Si les larmes embrouillent ton quotidien
J’ai une épaule à offrir.

Mais si tu veux entendre « Je t’aime »
J’ai mon silence à t’offrir.

Inspiré d'un fait vécu

Si j'étais en mesure d'aligner les mots de ma nouvelle de la même façon dont j'ai alignés ceux pour ton courriel, j'aurais terminé depuis longtemps.

Ça doit être à cause du sujet. Quand j'm'inspire d'un fait vécu, c'est toujours plus facile... J'connais déjà le discours des personnages, le début et les péripéties. Pour ce qui est de la fin, je pourrais l'adapter, la fabriquer de toutes pièces pour qu'elle réflète ce que je veux.

J'ai longtemps hésité avant de me fixer sur un sujet. L'histoire avec l'Individu aurait certainement fait une nouvelle palpitante. Et comme l'Individu... bref!

Ça m'aurait peut-être permis de faire comme Nayrus. Raconter l'histoire en 10 parties, 10 actes, 10 moments clés de la relation. Et enfin tirer un trait définitif au gros crayon feutre noir indélébile sur cette histoire...

M'enfin! Je ne l'ai pas fait. J'ai préféré un couple à la M. et Mme Smith, mais qui sont pas espions, à mon fait vécu... à notre histoire. On verra ce que ça donnera au final!

mardi 24 mars 2009

Les gens fidèles ne font pas les nouvelles

J'ai atteint 200 messages lors de mon avant-avant-dernier billet. « Bravo! Félicitations! Vous continuez à me lire et vous êtes toujours plus nombreux. Yé! » Maintenant que c'est dit et que tout le monde s'en est réjouit, passons à autre chose.

Et je suis revenue au blog noir. C'est le printemps et c'est lumineux dehors, mais j'aime mieux le noir. Point barre.

***

Je commence à l'instant à lire le recueil de nouvelle de Nadine Bismuth, Les gens fidèles ne font pas les nouvelles. Dès le premier texte, j'ai été saisie d'horreur. Jamais MON récit n'aura cette fluidité! La fin laissera peut-être autant à désirer... Et le titre? J'adore le sien! Le mien reste toujours à déterminer... je capote. Il me reste exactement 3 semaines pour trouver un titre.

J'ai souvent entendu que c'était mauvais de se comparer, car on le fait toujours vis-à-vis ceux qui nous sont supérieurs. Aucun doute là-dessus. Il en ressort tout de même un côté positif : je sais dorénavant qu'il faut que j'embraye et que je trouve 2 500 mots pour permettre à mes personnages de créer le chaos (ou quelque chose qui y ressemble).

Misère...

***

Les gens fidèles ne font pas les nouvelles. Rien de plus vrai. Il est rare qu'on pleure et qu'on colère parce que notre chum (ou tout autre personne qui a une place spéciale dans notre vie) est straight et nous aime plus que tout. On s'en fait dès qu'il en regarde une autre, qu'on le croit en train de rêvasser à une autre. On se fait des scénarios dignes des soaps américains... des comédies romantiques d'Hollywood quand on y met vraiment du sien.

Et c'est là que ça dégénère. Très récemment, je me suis fait dire de parler. De dire tout haut les scénarios que j'érigeais tout bas. Qu'extrapoler et mettre des paroles dans la bouche de quelqu'un sans en vérifier le fondement ne pouvait qu'être nocif pour moi. J'en conviens.

Je travaille fort pour éviter que les scénarios l'emportent sur ma conscience. Je travaille très fort. C'est une mauvaise habitude qui doit retourner d'où elle vient. Elle s'est faufilée dans mes habitudes au moment de la « chute » de l'Ex et persiste depuis...

Ces dernières semaines, l'Invincible (nouveau « personnage » nommé en hommage à la série télé) a fait un saut par ici. Certains jours, je me dis qu'il pourrait bien être celui qui va m'aiderait à ranger les scénarios au placard. Enfin... s'il veut bien me laisser une chance, qu'il permet que je m'explique et qu'il accepte « cette » réalité...

Le souper est servi!

Rien de mieux qu'un souper Ti-Con pour se remettre les idées en place!

Vin + fondue + Whisky Sortilège + Gâteau à l'érable + RockBand + MarioParty8 + Slyd + Christine + le cute coloc de Slyd = loads of fun!

By the way, sont rendus loin dans les MarioParty avec la Wii. J'étais au top quand j'ai reçu mon MarioParty3 au N64... haha! :)

Prochain souper : les initiations! yéé!!

lundi 23 mars 2009

Hold the line

As usual, quand vient le temps de sortir les mots, les idées et les phrases qui me dérangent, j'ai chocké.

Comme la pire des débutantes...

samedi 21 mars 2009

Le retour

Et j'appréhende la suite... pour une fois.

mercredi 18 mars 2009

Les fautes d'orthographe

Les gens qui font trop de fautes d'orthographe, qui ne sont pas capable d'accorder leurs participes passés et qui font des phrases incomplètes...

ÇA M'ÉNERVE.

Sérieusement, on a une belle langue. Arrêtons de la démolir en écrivant n'importe comment! Je suis au courant que je fais aussi des erreurs, mais certains en font des tellement FLAGRANTES et FACILES à corriger que ça m'écoeure.

Je me dis toujours : « Au pire, si la personne avait relu son texte, j'suis certaine qu'elle aurai pu en corriger au moins la moitié... » C'est ben beau que c'est un espace privé et bla bla bla, mais n'empêche. Accorder un participe passé, ça prend 3 secondes. Mettre un « s » quand le mot est au pluriel, ça prend 0,0000001 seconde.

Alors prendre 3-4-5 minutes de plus pour rédiger un texte, ça permet d'éviter des désagréments à ceux qui lisent. Imaginez si tous les auteurs ne faisaient pas corriger leurs textes... Un roman de 500 pages avec 15 fautes par page = illisible. Une personne moindrement habile avec la langue française ne se concentre plus sur l'histoire et/ou le contenu. Non, elle se concentre sur les erreurs de grammaire et de syntaxe, les mauvaises tournures de phrases, la ponctuation...

C'est très éreintant de lire un texte bourré de fautes alors... come on, gang.

mardi 17 mars 2009

Et vlan!

Je ne me souviens pas d'avoir posté cette BD. J'viens de la retrouver dans mes affaires et j'la trouve très drôle encore une fois...


lundi 16 mars 2009

BlogOff3

C'était encore une fois bien le fun!

J'étais contente que l'ex-coloc ait décidé de venir. Je pense que la fin de la soirée l'a aussi convaincue... :P

Comme la première fois, plein de beau monde gentil.
Vivement une quatrième édition cet été alors que je serai une Montréalaise temporaire!

Oh! Et je suis en train de penser qu'il faudrait vraiment que je change le nom de mon blogue. De un, c'est long à répéter. De deux, j'suis « Oh! C'est toi la fille de Sherbrooke? » Deux excellentes raisons pour modifier mon espace... éventuellement!

mercredi 11 mars 2009

Oulala!

L'adresse de mon blog a été publiée dans La Nouvelle de Sherbrooke.

Ça y est, je suis célèbre! haha!

Trop, c'est comme assez

Il y a quelques posts, je vous avais parlé d'une chronique de Laura Martin que j'avais lu dans La Tribune. Comme je ne l'ai pas trouvé sur le Net, je l'ai donc réécrit plus bas pour votre plus grand plaisir.

Enjoy!

Trop, c’est comme assez
Laura Martin
La Tribune, Sherbrooke

Je ne pourrai pas ajouter le U2 nouveau dans mon ipod. Il a l’air trop bon. La semaine prochaine, je ne pourrai pas m’évader à Tulum, avec mon amie Véro, mes chairs blanches presque violettes et un érable complet transformé en revues à potins qui me murmurent toutes que Jessica Simpson a pris dix kilos de fesses. L’escapade me ferait trop de bien. Elle serait trop relaxante.

Je ne pourrai pas non plus partager des rouleaux de printemps avec George Clooney, même s’il insiste depuis trois semaines pour me sortir au petit restaurant vietnamien sur la rue Alexandre. Il adore les rouleaux et moi aussi, quand ils ne sont pas trop huileux. Mais George est trop parfait.

C’est trop dommage.

J’ai chopé la maladie du trop. Tous les êtres doués de la parole en sont porteurs, mais moi, le foyer de ma maladie s’est logé sur ma langue et s’est développé. Soit je suis « trop » motivée, « trop » heureuse ou « trop » pressée. Comme si mes émotions, et la vie en général, dépassaient maintenant toutes mes capacités.

Carey Price ne peut pas juste être poche. Il est trop poche. Je ne peux pas avoir faim. J’ai trop faim. Je ne peux pas être juste fatiguée. Je suis trop fatiguée. Quoique quand on dort trois heures par nuit…

L’adverbe damné étend sa contagion, surtout chez les moins de trente ans, de plus en plus férocement. Il a trouvé un moyen de propagation viral : la télévision. Il a ciblé l’émission la plus écoutée : Star Académie. Dimanche dernier, tous les académiciens, qui venaient de se faire enterrer en duo avec Céline, disaient que l’expérience était trop hot, qu’ils étaient trop heureux d’être trop contents d’être trop là. S’ils avaient dépassé leurs limites de bonheur, ils n’avaient qu’à demander à se faire traiter de tous les synonymes d'imbéciles, en se faisant verser de l’eau bouillante au visage et mordre par un chien enragé. Non, mais tout s’arrange. Même l’excès de plaisir. Personnellement, j’ai trouvé que Céline était trop. Point. Trop tout.

Le gars en bermudas sur la rue King, hier après-midi, il était trop intense. Samedi soir, cet automobiliste, qui rinçait son moteur et partait sur les chapeaux de roues à toutes les lumières, était trop con. Comme s’il pensait que, parce que ma japonaise avait eu une greffe d’aileron au cul, j’allais faire la course.

Pas besoin d’avoir prêté serment à Hippocrate pour dépister le trop de trop. Le simple tic langagier est devenu une tare sociale aussi grave que l’incompétence dans les sociétés de placement. Cet abus d’un mot de quatre lettres pourrait être anodin. Mais il ne l’est pas. Il traduit le mal d’une société gavée. D’une société qui a fait tune overdose de tout. Et qui vomit ses « trop » pour se vider le vendre.

Pourtant, il n’y a pas si longtemps, on disait « pas assez ».

Pendant la semaine de relâche, on n’avait » jamais assez » d’argent pour aller « pas assez » loin pour des vacances qui ne duraient « pas assez » longtemps. On se contentait donc de participer à l’un des ateliers de bricolage de fleurs en jujubes offerts au Centre d’interprétation de la nature le plus près.

Maintenant, à l’ère du trop, les familles descendent sous les Tropiques. Pour aller se faire servir par des dames sous-payées qui sculptent des cygnes avec les serviettes de bain. Ces gens en reviennent en disant qu’ils ont trop mangé, un peu trop bu, que les vagues étaient trop grosses et que dix jours, finalement, c’était trop long.

La semaine prochaine, je serai au Mexique. Quand je m’échouerai sur le sable, avec le U2 nouveau dans les oreilles et des photos de George plein les magazines, il fera beau. J’aurai probablement chaud. Je mangerai assurément beaucoup.

Et, étonnamment, tout sera juste assez.

Même les cygnes en ratine.

J'ai un faible

J'ai un faible pour un ami de l'Ex.
Il est cute, intelligent, drôle.
Mais c'est un ami de l'Ex.





Fuck.

vendredi 6 mars 2009

En ce moment

En ce moment, j'ai les doigts qui me démangent de lui parler. Mais je vais prendre exemple sur MissJeudi et je vais contenir les pulsions de mes doigts.

En ce moment, j'ai de la rédaction-pas-si-créative à faire. 4000 mots pour demain 16 h, est-ce vraiment réaliste? Suffit que l'inspiration vienne y paraît.

En ce moment, je réalise à quel point je n'ai pas fait grand chose de ma semaine de relâche. À quel point je peux être dans le pétrin. Heureusement, je ne travaille pas samedi.

En ce moment, je ne crois pas avoir la force pour aller au Michou demain. Et je regrette vraiment de ne pas avoir été en mesure d'aller au Liver ce soir.

En ce moment, j'ai plutôt envie de dormir. Allez! On rédige 500 mots et on s'endort.

En ce moment, je pense à ce que serait ma vie si... et si... et si... Et je me dis qu'avec des si, on mettrait Paris en bouteille. Pas tellement pertinent, mais bon. C'est ça qui me vient à l'esprit.

En ce moment, je pense au bon texte que Laura Martin à écrit dans La Tribune d'hier. Je ne l'ai pas trouvé sur Internet alors dès que j'arrêterai de perdre mon temps, je le copierai et le publierai ici.

En ce moment...

jeudi 5 mars 2009

Écrire à la main

Y a comme une trend d'écriture de post à la main qui se répend dans la blogosphère. La journée annuelle de la mise à jour papier lancée ici. Je vais donc suivre le courant. Je vais écrire quelque chose à la main aujourd'hui.

Mais on s'entends-tu pour dire que c'est un paradoxe d'aller écrire quelque chose à la main pour ensuite aller le diffuser sur un média électronique? Donc, ce que je vais écrire à la main, ça va rester manuscrit et ça ne sera pas retransmis ici!

J'vais simplement vous donner des indices sur les sujets potentiels. Tsé... puisqu'il a été assez brillant pour découvrir que je lui voue un culte digne de celui voué à Brad Pitt. [En passant, je préfère Georges Clooney...]

http://autblog.ca/?p=631#comments
http://autblog.ca/fictions/EnRouteVersSoiMeme.htm

Le temps des tags, prise 3

C'est elle qui m'a taggué cette fois-ci. Les règles sont simples (et traduites en plus, ma bande de chanceux!) :

1- Allez sur un sujet random de Wikipedia en suivant ce lien : http://en.wikipedia.org/wiki/Special:Random Le titre de l'article sur lequel vous aboutissez sera le nom de votre groupe.

2- Ensuite, allez sur "Random quotations" en suivant le lien que voici : http://www.quotationspage.com/random.php3 Les quatre ou cinq derniers mots de la dernière citation en bas de la page formera le titre de votre premier album.

3- Allez sur cette page spécifique sur Flickr : http://www.flickr.com/explore/interesting/7days La troisième photo sur la page, peu importe ce que c'est, sera la pochette de votre album.

4- Finalement, rassemblez tout ça avec un logiciel photo ou via ce site : http://www.picnik.com/app et publiez le tout sur votre blogue pour être la prochaine rockstar!


mercredi 4 mars 2009

Le temps des tags, prise 2

Idée prise ici.

Le concept :
Aller dans votre dossier de photos le plus récent [ou le 6e plus récent]. Sélectionner la 6e photo du dossier. Poster sur le blogue.


Photo prise lors de la première édition du Hockey Fest Énergie (Conférence de l'Ouest, Brasserie La Seigneurie).

Le temps des tags, prise 1

Voici une première tag.
En fait, pour celle-là, c'est que j'étais curieuse de voir le résultat.
Je l'ai prise ici qui elle l'a prise .

En gros, c'est supposé représenter ma vie. À mon avis, c'est plus ou moins convaincant... mais bon!

Chanson de circonstance ou...

Oui, c'est Kelly Clarkson.

Mais comme c'est l'amour de ma vie [a.k.a Simon du Simon's] qui me l'a fait découvrir comme toutes les autres chansons, ou presque, de mon répertoire musical, ça ne peut qu'être EXCELLENT. Et de toute manière, ça faisait longtemps que j'avais eu une chanson de circonstance... À défaut de trouver une meilleure appellation.

My life would suck without you

Guess this means you're sorry
You're standing at my door
Guess this means you take back
All you said before
Like how much you wanted
Anyone but me
Said you'd never come back
But here you are again

(Chorus)
Cuz we belong together now, yeah
Forever united here somehow, yeah
You got a piece of me
And honestly
My life (my life) would suck (would suck) without you

Maybe I was stupid
For telling you goodbye
Maybe I was wrong
For tryin' to pick a fight
I know that I've got issues
But you're pretty messed up too
Either way I found out I'm nothing
without you

(Chorus)

Being with you is so dysfunctional
I really shouldn't miss you
But I can't let you go,
Oh yeah

(Chorus x 2)

lundi 2 mars 2009

Jardins secrets

Ma nouvelle n'avance pas.
Mais pas PENTOUTE.

Faudrait que je m'y mette sérieusement.
Demain. Ou après-demain. Peut-être.

dimanche 1 mars 2009

What happens in Boston, stays in Boston.

En fin de semaine, je suis allée à Boston avec Joëlle (a.k.a. Daisy on Ice ou Le Gars) et 37 autres personnes. Ça goûtait le ciel! Un match opposant les Bruins aux Capitals (Théo dans les but, of course) terminé par un but de Washington en début de prolongation. « Tsé, la fille (a.k.a. moi) a connaît pas ça, mais à l'aime ça! » (De la bouche d'un divorcé-de-30-ans-2-enfants, ça sonne bizarre!)

À partir de maintenant, what happened in Boston, stays in Boston. Alors vous devrez jouer à fill the blanks.

Quand on est arrivés à l'Hôtel, les chambres n'étaient pas prêtes. Après une brève attente, Jo et moi avons finalement eu notre chambre. Nous somme allées acheter [insérer un chiffre] bouteilles et [insérer un déterminant ou deux, c'est selon] Coke. Le divorcé-de-30-ans-2-enfants et le pas-divorcé-de-28-ans-2-enfants sont venus nous rejoindre. On a [insérer un participe passé] et [insérer un autre participe passé]. Après ça, Jo s'est [insérer une action plutôt passive] par le divorcé-de-30-ans-2-enfants et je suis allée [insérer une action] avec le pas-divorcé-de-28-ans-2-enfants.

La [insérer un nom] n'était pas un pré-requis. À [insérer une heure], je [insérer une action] déjà. Les [insérer un nom de drink] n'étaient pas la meilleure idée sur un estomac vide... Mais comme je connais mes limites (oui! oui! haha!), [j'ai/je n'ai pas] été [insérer un nom]. Je me suis réveillée à 4 h, et le flou a envahi mon esprit. Ma chambre était de l'autre côté du couloir. Qui dormait dans le lit voisin? De kessé?

Ça, c'était la soirée de samedi.

Mais en résumé...

1- « Ça goûte le ciel! » (Le pas-divorcé-de-28-ans-2-enfants)

2- « Boston, c'est ça. » (Le divorcé-de-30-ans-2-enfants)

3- « Elle connaît pas ça, mais elle aime ça. » (Le divorcé-de-30-ans-2-enfants au pas-divorcé-de-28-ans-2-enfants à propos de moi)

4- Le move de descente de l'escalier accompagné d'un : « Attends un peu, j'vais aller l'chercher dans l'sous-sol » (Le pas-divorcé-de-28-ans-2-enfants)

5- « C'est pas mon cellulaire, finalement! » (Le pas-divorcé-de-28-ans-2-enfants qui a pris mon mp3 pour un cellulaire toute la soirée)

6- Les filles qui ont « un corps de rêve et qui aiment le hockey » pognent automatiquement avec les divorcés-de-30-ans-2-enfants... hahaha! :)

7- « Wanna rock, certain! Enweye donc! Weye donc! » (Jason... merci pour ces paroles si fortes de signification qui agissent comme les points et les virgules de tes phrases...)

8- « Agence de rencontre Sophie Fortin, bonjour! » (La plupart des clients ayant en commun leur nombre d'enfants... haha!)

Mais bon! En gros, c'était vraiment cool! Et si le CH fait les séries, watch out!

Wanna rock? Wanna rock, certain!